La solitude surprend soudaine et surtout Du vent, du souffle mais jamais de pluie Les glycines osent l’assaut de leurs vrilles intrépides Les frémissements du printemps à l’orée de l’été, Que faut-il faire de ce printemps ? Cette ténèbre pour épaisse qu’elle paraisse, D’âpres regrets me forgent des grilles d’enfer À l’issue des pires sentences, néanmoins, Guéris du lancinant murmure Dieu est personne sur qui l’on peut poser Mes mailles au lac à tel point baillaient lâches Curieux comme peut peser le péché, le passé, A choisir, je préfère l'enclume Celui qui s’approche fait la part belle Privé soudain de la brise exquise des sous-bois, J’envie déjà ces moments d’évidence Plante au point focal de ta parabole |